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Le week-end, parfois, on prend le temps de se promener.

C’est comme ça qu’une après-midi ensoleillée du mois d’aout, on s’est retrouvé sur les bords de Seine, un endroit que doivent probablement connaitre tous les Parisiens mais pour moi c’était plutôt inédit (bien que je commence à connaitre le quartier car on va souvent au ciné par là ^_^)!
Derrière la bibliothèque François Mitterrand donc, on arrive d’abord sur de grandes estrades de bois, suivies de longs escaliers qui mènent sur les berges de la Seine.

On peut d’abord apercevoir quelques bateaux connus à quai, sur le Port de la Gare. La Dame de Canton (jolie jonque ancienne), le Batofar (endroit culturel branché) et le Bateau El Alamein (café concert) dont le pont et couvert de plantes…

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Avatar : Special Edition (cinéma)

Ca y est, j’ai enfin vu ce film (en version longue en plus) dont tout le monde parle depuis l’année dernière et je peux enfin dire mon avis entre les pro-avatar et les anti-avatar!
Et bien moi je l’ai trouvé sympa… Certes il est très long, trop long même, ça manque de sensibilité, ça en fait des tonnes, le scénario est basique et reprend trait pour trait Pocahontas, et le message que veut faire passer James Cameron est tellement martelé que ça en devient juste agaçant. Mais je pense que ce mec là manque de finesse, comme dans Titanic, c’est long, ça dégouline de sentiments, ça veut tellement nous tirer des émotions qu’au final, ça déclenche plutôt l’effet inverse (pour moi en tous cas).
Mis à part ça, le film est quand même agréable à regarder, surtout toute la première partie, c’est joli, il a su recréer tout un univers bien spécial et ça c’est chouette. La 3D (avec les lunettes), bien que je n’en soit pas fan au cinéma en général, je n’ai pas l’impression que ça serve beaucoup mais au moins ça donne un peu de profondeur à son monde imaginaire et ça nous emmène à voir son film et son histoire avec un regard nouveau (je pense que c’était le but). Pour une fois en tous cas, ça ne m’a pas foutu mal à la tête…
Mais quand je pense que c’est à cause de ce film que toutes les salles de cinéma sont équipées du système 3D et qu’il faut maintenant rentabiliser tout ça en sortant des films 3D tout pourri à la pelle, ça me fait bien chier quand même!!

Infernal Affairs (télévision)

Voila un film que je voulais voir depuis longtemps et dont les occasions de le regarder ont toujours été ratées de peu. Merci donc à ARTE de l’avoir passé ce Jeudi 16 septembre.
C’est un très bon film Hong-kongais, dans la lignée des John Woo et autres réalisateurs de ce style.
Ca parle des triades, de cargaison de drogue, de la police HK, d’infiltrés… Chacun change de vie et de personnalité, un peu comme dans Volte/Face, sans oublier les duels où les deux héros braquent leur arme sur l’autre sans vouloir céder.
En plus, Tony Leung est vraiment beau dans ce rôle, ce qui ne gâche rien.
J’ai bien apprécié ce film et maintenant j’ai envie de voir les 2 autres de la trilogie!

東京スカパラダイスオーケストラ en live!

Le dimanche 5 septembre 2010, Tokyo Ska Paradise Orchestra nous faisait la joie de revenir en France. Un très bon concert malgré un démarrage difficile.

La file d’attente était longue devant le Nouveau Casino et les portes, qui devaient ouvrir à 19h, se sont finalement ouvertes à 19h30.

Ensuite, vers 20h, on a eu droit à la première partie la plus nulle de l’univers (et encore je pèse mes mots car j’ai appris a être indulgente avec les premières parties). Parfois on est content car on peut faire de chouettes découvertes avec les premières parties pendant les concert, mais là, ce n’était hélas pas le cas. Un D.J. en chemise, statique, qui se contentait de passer des disques avec parfois un fondu enchainé entre deux morceaux (ce que n’importe quel lecteur de musique, genre iTunes ou Winamp peut faire sans problème). Il m’a presque fait pitié le pauvre, car il n’intéressait personne.
La salle était bien pleine et la chaleur très intense. On commençait à ne plus pouvoir bouger et, enfin, à 21h, le véritable concert a commencé!
Quelle honte quand même d’indiquer 19h sur les billets… L’attente debout pendant 2h, compressés, avec la chaleur, le mal de pied et de dos et les consommations hors de prix, j’ai passé l’age de ces conneries quand même!
Heureusement que la bonne humeur et l’énergie communicative du groupe fait oublier tout le reste!

Neuf piles électriques survoltées qui sautent partout sur la petite scène avec leur cuivre ou leur guitare, ça réveille. Ils ont enchainé plusieurs titres, pas mal de reprises pour le plus grand plaisir du public et notamment l’Hymne à l’amour (d’Edith Piaf) que la foule a chantonné avec eux.

Ce qu’il y’a de bien avec ce groupe, c’est qu’entre les morceaux très ska, on a eut droit a des notes plus jazzy, voir quelques morceaux planants, mais aussi des passages carrément rock.
Bref, un beau mélange et un bon concert, qui s’est clôturé sur une musique d’anniversaire endiablée car c’était l’anniversaire du clavier.

Ce qui est rigolo, c’est que tous les Japonais de Paris s’étaient aussi déplacés pour voir le groupe :). J’ai vraiment eu l’impression, à certains moments, d’être dans une live house au Japon pour voir mes amis UNSCANDAL (qui font le même genre de musique ^^)!

Bref, un début trop long, un concert un peu court mais le tout reste positif!

Je suis allée voir le film en avant première (projection en salle, mais le film sortira le 13 octobre en DVD et Blu-ray chez Kaze).

Pour faire encore plus la maligne, je dois vous dire avant ça que j’avais déjà vu le film au Japon, en V.O. sans sous-titre donc, et que j’avais compris toute l’histoire (à quelques subtilités près ^^;), je suis très fière.
Pour ce qui est de mon avis ou d’une review sur le film, vous l’avez donc dans mes archives ici.

En tous cas rien que la salle de projection valait le coup d’œil, toute en rouge avec un thème de bateau :).

Pour le film, c’est un dessin-animé sympathique qui s’adresse surtout aux fans du jeu. J’ai juste été déçue par les changements de certains noms des personnages pour la version française, ainsi Remi devient Emmy (parce que ça fait plus nom de fille…), dommage :/!

En tous cas, j’attends le nouveau volet avec impatience : Professeur Layton et le Destin Perdu, qui devrait sortir le 22 octobre en France ^__^!

Je suis en retard dans le flot de posts et de choses que je veux raconter ici. Certaines choses ne sont plus vraiment d’actualité et pourtant, j’ai envie d’en parler quand même. Sans mon propre ordi, sans un endroit où ranger mes photos, sans les outils adaptés pour tout ça, ça devient pas si évident et ça demande beaucoup de motivation… mais ma motivation elle est un peu partie en vacances en ce moment :/.

Comme j’ai quand même plein de choses sans intérêt à raconter, je retrousse mes manches et je me lance! Go, go, go!

Ce week-end, j’ai fais un petit break et je suis allée chez mes parents à la campagne. Nature encore verte, beau temps, bon repas et retrouvailles étaient au rendez-vous et ça fait un bien fou ^___^!
Deux jours loin de la ville, deux jours pour prendre le temps et profiter des petits plaisirs simples de la vie, au calme.

Bien sûr, 11h de train aller-retour ça bouffe un peu le court week-end, mais j’en ai quand même profité!
Comme c’est la fin de l’été, il y avait encore des fleurs et des fruits. Ca mettait de la couleur dans la maison!

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Et si on apercevait le soleil derrière tout ça?

Je suis en pleine période de doutes, je ne me sens, du coup, pas très bien.
C’est étrange car, en règle générale, ça va, je n’ai pas grand chose de mieux à dire, mais finalement au fond c’est autre chose… C’est peut-être juste un trop plein de fatigue, ou le fait de ne pas faire exactement ce que je voudrais. Je ne me sens pas à la hauteur de certaines choses, je n’imaginais pas ça comme ça, je  ne sais pas. L’été et passé trop vite et je regrette mes anciennes périodes d’oisivetés, quand le temps s’étirait à l’infini et qu’on avait cette sensation de chaleur et d’ennui mêlés. J’ai peut être juste besoin de vacances, peut-être besoin de changer d’air.
Cette ville m’étouffe et je ne suis ici que parce que la plupart des gens que j’aime y vivent, mais je sais que moi, je serais mieux ailleurs.
Et pourtant il y’a du soleil derrière ce gros bâtiment, on l’entrevoit. Peut-être qu’il va surgir par le haut et nous éblouir, mais peut-être au contraire que c’est un soleil descendant vers l’horizon qui ne va faire que s’enfoncer plus et obscurcir nos vie en étendant l’ombre noire du bâtiment et en plongeant tout dans l’obscurité.

Tiramisu (mon netbook) est mort, et avec lui toutes mes photos, musiques et autres vidéos d’Arashi T___T! Impossible de savoir quel élément de la machine ne fonctionne plus et personne n’a encore de lecteur de disque dur approprié pour voir si les données sont récupérables…
J’avais d’ailleurs prévu des posts illustrés pour ce blog, une promenade sur les bords de Seine, de nouvelles plantes pour la maison etc… Mais POUF, plus rien.
Ca fait tout drôle quand, d’un coup, la bête ne s’allume pas, comme ça, sans raison apparente et qu’on se dit qu’elle ne se rallumera surement plus jamais. C’est tellement soudain. Mon autre ordi, l’ancien, ne marche pas vraiment non plus, il ne boot pas. C’est le disque dur principal qui a du mal à se lancer et il faut parfois tout démonter et le tapoter. Bref, je suis dans la mouise informatique depuis une bonne dizaine de jours et je fais comme je peux.
Pas glop!

J’ai lu Le Trop Grand Vide D’Alphonse Tabouret et j’ai beaucoup aimé.

Ca se lit vite, c’est tout mignon, tout simple, tout enfantin et pourtant ça parle de la vie en général, des manques, de ces vides qu’on essaye tous de remplir de différentes façons.

J’ai été étonné qu’un récit si léger en surface soit finalement si profond et dense et on se retrouve vite happé par l’histoire et les dessins. Ca ressemble d’ailleurs plus à un livre d’histoires illustrées qu’à une BD, mais ça vaut vraiment le coup.

C’est poétique, joli, triste et rigolo à la fois! Comme la vie :).

Ca sort donc au édition Ankama, dans la collection Etincelle et c’est fait en collaboration par Sibylline, Capucine et Jérôme d’Aviau . Une bien belle découverte et un bien bel objet!

Une famille très moderne (cinéma)

Ce film n’était franchement pas terrible!
Rien qu’en aillant vu la bande annonce, on a vu tout le film. Il fait partie de ces comédies sentimentales New-yorkaises  pas originales pour un clou, peuplées de gens qui cherchent l’âme sœur ou, accessoirement, un sens à leur vie dans leur morne quotidien de citadin.
Il y’a quelques moments sympa, éparpillés aux compte-goute, mais franchement aucune surprise ni rien qui sort vraiment du lot dans ce film. C’était un peu sans intérêt au final, surtout quand une des accroches de l’affiche nous parle de Juno et de Little Miss Sunshine, des films qui eux, au contraire, arrivent à faire des merveilles avec trois fois rien, là on a juste le rien. Dommage!

Transformers (télé)

Vraiment un film pourri!
Ok, les effets spéciaux sont réussi (tout le monde me les avaient vanté à sa sortie), les robots sont bien animés, leurs mouvements sont fluides et ils sont bien intégrés au décor, mais mis à part ça, l’histoire est sans intérêt, le héros (Shia LaBeouf, le fils d’Indiana Jones) est juste creux (je crois que je n’aime pas cet acteur tout compte fait), il sur-joue son coté “jeune, qui ne connait pas encore la vie”, les nombreux gags présents dans le film sont lourds et durent jusqu’à 20 min (le film aurait très bien pu faire 1h30 au lieu de 2h30, n’importe quoi!), les incohérences se comptent à la pelle et le doublage français ajoute à la nullité de l’ensemble.
Bref, c’est nul, chiant, pas drôle et seules quelques scènes d’action valent le coup d’œil. Un japonais m’avait dit que c’était nul, j’aurais du l’écouter :/.
Quand je pense que y’a un 2 et même un 3 en préparation… ça fait peur! En tous cas, TF1 s’en est donné à cœur joie pour celui-ci, plein de coupures pub, et notamment une pub pour les jouets Transformers (mais là, j’avoue que j’aimais bien les jouets quand j’étais plus petite).

Je ne suis pas franchement adepte des proverbes et autres dictons débiles, mais j’avoue qu’il y-en a certains que j’affectionne quand même.
Toujours pour parler de mon travail, il faut savoir que depuis que je travaille pour (et avec) une Japonaise, la maxime : “le mieux est l’ennemi du bien” passe dans ma tête presque tous les jours. Quand tout va bien elle veut toujours faire mieux et ça a tendance à devenir une véritable catastrophe… C’est très pénible et impossible de lui faire comprendre que, parfois, les choses simples sont mieux pour tout le monde!

De toute façon la communication est plutôt difficile, dans les deux sens.

En fait, je me rends compte que je suis abonnée à un certain type de personne, dans le monde du travail en tous cas. Au japon, je travaillais pour en anglais, en mal de chez-lui, qui avait ouvert un pub Anglais avec des boissons et de la bouffe bien de chez-lui et qui souhaitait surtout parler sa langue maternelle et fuir sa maison et son couple.
Ici c’est pareil, je travaille pour une Japonaise, loin de son pays, qui se réfugie corps et âme dans son travail et sur son lieu de travail et qui a recréer un petit bout de Japon bien à elle…
C’est toujours étrange de travailler pour ces gens bien à part et ça a toujours un petit coté malsain, un peu difficile à supporter.

Et tous les jours cette même routine, faire la vaisselles et le ménage des même choses à l’infini…
Le plus pénible c’est de rentrer chez-soi après ça, où le ménage et la vaisselle ne sont pas fait, où tout est sale et de ne plus avoir le courage de s’y remettre.

Every day is exactly the same
Every day is exactly the same
There is no love here and there is no pain
Every day is exactly the same

Every Day Is Exactly The Same – Nine Inch Nails