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Après les deux premiers posts (le premier et le deuxième) qui parlaient du genre de nourriture qu’on peut trouver au Japon, et surtout des produits de supermarché par exemple, voici la suite (qui arrive un peu tard, certes, mais mieux vaut tard que jamais)…

Aujourd’hui on va parler d’aliments divers et variés.

Pour commencer, le dashi. Le Dashi est le plus souvent vendu sous la forme de sachets de poudre déshydratée. C’est une des bases de la cuisine Japonaise et il est utilisé dans, par exemple, la constitution de la célèbre soupe miso.
En fait le dashi c’est un bouillon à base d’algue (de l’algue konbu) et de poisson (de la bonite séchée, les même copeaux que l’on met sur les takoyaki ou les okonomiyaki pour ceux qui connaissent) et c’est très utile dans plein de recettes.

Voici donc les sachets de poudre de dashi à verser dans l’eau que j’avais achetés (et au Japon ça ne coute rien en plus, donc j’en ai ramené quelques-uns ^^).

Mais le dashi, ça na rien de rigolo.

Passons plutôt à une de mes dernières découvertes : le sandwich de sushi “Sushi-sando”. Ca ressemble à une mauvais blague mais ça se vend pour de vrai en combini ^0^;!

En fait ça ressemble plutôt à des onigiri, deux pâtes de riz fourrées de thon-mayo ou autres joyeusetés poissonneuses. Ce n’est pas mauvais du tout ^__^!

Au Japon un jour, quelqu’un a voulu me faire plaisir et m’a offert du fromage. Et quel fromage.

Un formage danois qui ressemblait beaucoup à du Babybel, et le camembert du père Toinou, fabriqué en France… Tout le monde m’a demandé si c’était du bon camembert connu en France. Dur de leur répondre que “pas du tout, c’est un fromage qui n’est destiné qu’à l’exportation” (car on en trouve dans d’autres pays, notamment en Égypte et en Chine). Pour précision, le dit fromage se présente sous la forme d’une boite de conserve sous son emballage de carton d’apparat, la classe.
Bien évidement ce n’était pas très bon, mais on fait avec ce qu’on a.

Au Japon, il y’a des Mister Donuts et je dois avouer que j’y ai beaucoup pris gout (j’avais même une carte de fidélité,qui ne m’a pas beaucoup servi, car je ne mange quand même pas des donuts tous les jours ^^;).

Leurs Donuts sont bons, pas excessivement gras (il en existe des “presque” sains au sésame) et il y’a beaucoup de choix. D’ailleurs, leur liste me fait saliver rien que de la revoir :]~~ !

Je me suis découvert une passion pour les desserts ou boissons parfum pomme. Il faut dire qu’au Japon même les jus de pommes sont bien meilleurs qu’ici (à mon gout, bien sûr). Ils sont plus sucrés mais ils ont aussi plus le gout acidulé de la pomme verte, j’aime.

J’ai donc acheté des Pocky “apple yogurt” qui étaient, ma foi, très bon et que j’ai dévorés en regardant des drama à la télé!!

Pour rester dans le sucré, je vais parler des senbei sucrés.

Mais laissez-moi vous parler des senbei en général avant. Au Japon c’est toute une institution et il en existe des milliers. Les senbei sont des galettes de riz trèèèèès croustillantes et souvent très salées et enrobées de sauce soja. Les Japonais en consomment beaucoup, en casse-croute, avec la bière en genre d’apéro, avec le thé… On offre ce gâteaux croustillant à ses invités et on peut trouver des senbei spéciaux du coin dans toute bonne boutique souvenir.
Il existe de nombreux magasins traditionnels qui ne vendent QUE des senbei. Ce sont de toutes petites boutiques, remplies à craquer de galettes en tous genres qu’on achète à l’unité à la petite vieille ou au petit vieux qui les vend.
En gros, tous leurs biscuits secs s’appellent des senbei (donc retenez bien ce nom :p).
J’ai découvert un peu après qu’il existait aussi des senbei sucrés (plus rares). Par exemple celles-ci, très bonnes.

Des genres de galettes très fines au gout de langue de chat.
De la marque Kashiwado, les senbei au lait, plus lait de soja (牛乳せんべい 豆乳プラス).
A Kyoto, on a mangé des senbei sucrés artisanaux très bon aussi et très fins.

Certains étaient aromatisés au goma (sésame), kurogoma (sésame noir) ou encore gomamiso (miso et sésame, comme sur la photo), d’autres au yuzu (sorte de mandarine sauvage très parfumée qu’on utilise dans les plats et les déserts), un délice.

Pour finir, les Karujaga que je rêvais de manger depuis longtemps.

Après avoir vu la pub télé qui est bien rigolote (une tribu primitive en animation qui ont des sticks de pomme-de-terre qui sortent de leur tête en chantant une chanson très catchy, tout un programme que je vous invite à regarder de toute urgence ici : http://www.glico.co.jp/karujaga/cm.htm), je n’ai donc pas résister à gouté cette petite merveille.
Il faut dire que leurs sticks de patates n’a pas le gout d’un vulgaire chips, mais plutôt d’un genre de velouté de pomme-de-terre croustillant. C’est un gout très riche, qui donne l’impression d’être plus nourrissant, mais c’est très bon et vite englouti ^^;;

Voila pour ce post spécial nourriture…Il y en aura quelques autres par la suite si tout va bien ^^;;

Cet article a été publié le Tuesday 13 April 2010 à 18:28 et classé dans Vie au Japon, Voyage. Vous pouvez suivre les commentaires sur cet article grâce au flux RSS 2.0. Les commentaires et les pings sont fermés pour le moment.